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    arboretum parc de la vallée aux loups

     


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    jardin japonais albert kahn

     


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  • Autre découverte, le Jardin des Plantes de Paris. 

    Héritier du Jardin royal des plantes médicinales créé par Louis XIII en 1635, le Jardin des Plantes accueille le public depuis près de quatre cents ans.

    Les fleurs en multitude, des couleurs partout mais bien rangées en plates-bandes ! Plein de bancs, que l’on choisit d'ailleurs judicieusement dans les allées, pour avoir la meilleure vue entre les marronniers. Moi, ma place fétiche, est un banc de pierre dans le jardin de l’école de botanique. De là je peux admirer ce grand arbre dont le tronc s’est comiquement tordu. J’adore aussi rester debout sous cet arbre où les branches tombent et vous entourent. On se sent protégé par ses branches et on se laisse aller en toute confiance, en sentant sur sa peau les rayons du soleil passer au travers de ses feuillages.

    Je m’assoie donc sur un de ces rares bancs de pierre disposés le long de la grille du jardin de l’école botanique. La pierre est rafraîchissante…

    Puis mon petit tour traditionnel au jardin des iris et des plantes vivaces. Un jardin un peu magique et en retrait, que j’ai découvert cet été sous les innombrables gouttelettes d’eau de l’arrosage automatique. Chaque gouttelette était comme un prisme pour chaque rayon de soleil. Une fée serait apparue que je n’aurais pas été surprise !

    A ne pas louper non plus, traverser le jardin de roses et de roches, reposant et serein…

    Puis juste avant la sortie, l’énorme morceau de quartz noir que je ne manque jamais de toucher !

    Mais l’aventure continue. Il me reste à visiter le labyrinthe, le jardin alpin, et le jardin des pivoines, le jardin écologique (ainsi que le musée minéralogique). Tout un programme...

     


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  • Un peu d’histoire…

    En 1534, Gilles Le Maître, avocat général de François 1er et premier Président du Parlement de Paris, achète un fief au centre d’un domaine agricole appelé Cincehours, dans la province française du Hurepoix. En 1550, il décide d’y faire construire un manoir : Courson est né.

    Après avoir eu plusieurs autres propriétaires, le domaine devient en 1672, par donation royale, la résidence d'une grande lignée de parlementaires : les Lamoignon.

    De Guillaume, premier Président du Parlement de Paris, le château passe aux mains de son fils cadet Nicolas, haut fonctionnaire parmi les plus influents de son temps. Le parc est mis à la mode des parcs de Le Nôtre et devient un parc "à la française".

    En 1775, le domaine est vendu à Guillaume Joseph Dupleix de Bacquencourt, ancêtre des propriétaires actuels.
 

    Quelques années et une révolution plus tard, Anne-Rose-Zoé de Montesquiou hérite de Courson. Elle vient d’épouser Jean-Thomas Arrighi de Casanova, duc de Padoue. De retour d’exil en 1820, le duc lance une grande campagne de restauration du domaine, transformant notamment le jardin "à la française" en un parc paysager romantique qui s'ouvre sur la campagne environnante. Il y introduit alors de nombreuses espèces.

    Son fils Ernest de Padou – préfet de Seine et Oise et ministre de l’intérieur en 1859 - entreprend à son tour une profonde rénovation du domaine, tendant à en faire une "grande villa des champs". Il complète le parc en y aménageant l’étang.
 

    Au décès d’Ernest de Padoue, Courson est transmis à la famille de Caraman. Les petits enfants reprennent alors le flambeau.

    Le Domaine de Courson

    Le parc du Domaine de Courson vous invite à une balade le long de son étang. Plusieurs ambiances se succèdent, s’offrant au visiteur toujours par surprise. De larges prairies où l’on s’imagine gambader. De surprenants cocons intimes, où des amoureux seraient heureux de s’y retrouver pour un moment de paix loin de tout. En arrivant à l’extrémité de l’étang, on se retrouve face au château qui se reflète magnifiquement dans l‘eau de l’étang. D’autres endroits aussi, où l’on se verrait aisément s’asseoir, (je pense au bord de l’étang près des roches), et jouer aux commères avec sa camarade de papotage préférée. Et cette île sur l’étang, île que l’on ne découvre qu’en s’enfonçant dans le jardin.

    Et puis des plantes surprenantes! Tout d’abord, le Cornouiller des Pagodes. Celui que je présente en bandeau du menu de ce blog. Mon coup de cœur, mon chouchou, mon favori, mon petit arbre rien qu’à moi… Il semble que la lumière provienne directement de ses feuilles, tellement il est lumineux et reflète le soleil. Et puis il est adorable avec ses branches en étages... et ce rosier ancien qui dont les senteurs vous entourent et vous parfument. Et les tulipiers de Virginie : Des fleurs en forme de tulipe, et des feuilles en forme de tête de chaton ! L'acer griseum, cont on a l'impression qu'il pèle du tronc!! et ce ravissant liquidambar, rose et jaune en automne... un délice... Et les pins noirs de Corse, immenses! Et puis ce grand chêne en forme de gobelet. et des tas d'autres arbres de collection qui sont un ravissement...

    Au printemps ou en automne, ce domaine est toujours immensément riche en couleurs...

     

     

     

     


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